elon la région où vous vivez, vous ne gèrerez pas la culture de vos tomates de la même manière.
La culture des tomates pour les régions où l’eau est une habitude
Pour les régions où l’eau est une habitude de culture, la gestion des tomates se passe sous serre. Cette méthode permet d’éviter les champignons microscopiques comme le mildiou.
Ce dernier adore l’humidité ! Il se propage aussi bien avec des grosses gouttes de pluie, en passant par la bruine, et bien sûr le brouillard.
Du coup, pour ces régions-là, la meilleure méthode est la culture sous serre. Cela limite l’action du mildiou puisque l’eau n’atteint pas les pieds de tomates.
La culture des tomates pour les régions qui subissent des sécheresses
Pour les régions qui subissent habituellement la sécheresse… Bon il est vrai que cette année, nous ne sommes pas dans cette configuration jusque-là…
La gestion des tomates est différente. En effet, installer les tomates sous serre alors que la sécheresse sévit, n’est pas conseillé car on ajoute le problème au problème !
Mais du coup, le plus gros des soucis est le manque d’eau. Comme la tomate est composée à 95% d’eau, manquer d’eau va contraindre la tomate à limiter sa production. Donc tous les moyens d’apporter de l’eau en limitant l’évaporation sont les bienvenus.
Le paillage
Il est possible de pailler le sol avec un paillage végétal, de paillette de chanvre, sur au moins 5 cm de hauteur.
Les buttes de terre
De faire une butte de terre ou de paille au pied de la tige mère pour renforcer son enracinement ce qui la rendre plus costaud et donc plus résistante à la sécheresse.
Les différents systèmes de gouttes à gouttes
On peut installer des bouteilles munies de tête céramiques, une bouteille par pied, l’eau s’égouttera au fur et à mesure. Les oyas ou ollas, ces poteries de terre cuite, sont enterrées et elles aussi, restituent l’eau doucement. Et si vous matchiez le tout ?